Unpremier cas de transmission de la variole du singe de l'ĂȘtre humain au chien a Ă©tĂ© rapportĂ© la semaine derniĂšre dans le journal mĂ©dical The Lancet. Il s'agit de deux hommes contaminĂ©s Aubout du fil, la voix est affaiblie. Nicolas s’excuse de ne pas ĂȘtre trĂšs audible. ÉpuisĂ©, fiĂ©vreux et la gorge extrĂȘmement douloureuse, le jeune homme ĂągĂ© de 24 ans a Ă©tĂ© hospitalisĂ© la veille des suites d’une infection au monkeypox (ou variole du singe) et plusieurs jours d’errance diagnostique.Plus de dix jours aprĂšs sa contamination, il ne voit pas venir l Varioledu singe : entre polĂ©miques et fake news, le vrai du faux. Variole du singe : huit victimes recensĂ©es, l’OMS attend « plus de dĂ©cĂšs » Variole du singe : le centre de vaccination ouvert Ă  Paris est dĂ©jĂ  saturĂ©. Variole du singe : cinq questions pour mieux comprendre ce virus. Consultez votre horoscope sur ELLE Vay Tiền Nhanh. ï»żPartager la publication " Je ne suis pas un singe », un reportage Ă©loquent" FacebookTwitter Encore un trĂšs bon reportage d’Olivier Dacourt sur canal+, Je ne suis pas un singe ». Mais plusieurs choses sont Ă  relever, et notamment l’intervention de NoĂ«l Le GraĂ«t. AprĂšs Ma part d’ombre, Olivier Dacourt a donc remis cela avec un reportage sur le racisme dans le football. Evidemment, on n’a pas dĂ©couvert que cela existait, on le sait depuis longtemps. Mais cela valait le coup d’entendre les acteurs. On ne va pas revenir sur les cris de singe, ni sur ce supporter d’Hellas Verone qui dit qu’il a Ă©tudiĂ© et donc qu’il est fasciste par conviction et idĂ©ologie, c’est tellement triste
 En revanche, on peut comprendre le malaise de Balotelli et son comportement dĂ©calĂ©. Oui, l’italien d’origine ghanĂ©enne a dĂ» souffrir de maux d’une extrĂȘme violence. AjoutĂ© Ă  cela la notoriĂ©tĂ©, l’argent, les femmes, tout cela trĂšs jeune, et il n’y a pas Ă  chercher plus loin les explications Ă  ses problĂšmes de comportement. Le vrai problĂšme, ce sont les tĂ©moignages d’anciens joueurs ou de ceux en fin de parcours. Pourquoi, aujourd’hui, ils veulent que les noirs quittent les terrains, qu’ils s’unissent pour ne pas jouer ? Pourquoi demandent-ils aux autres, et avec force, de faire ce qu’ils n’ont jamais eu le courage de faire eux-mĂȘmes ? LĂ , on parle de racisme anti-noir avec des cris de singe, parce que c’est la partie la plus choquante, la plus honteuse. Dans le reportage, on parle Ă©galement des caricatures qui entourent le joueur noir avec sa puissance physique mais son manque d’intelligence. C’est marrant, quand j’ai parlĂ© de cela dans l’after, certains anciens pros ont tweetĂ© que je n’y connaissais rien. Mais finalement, le racisme existe dans le foot, que ça plaise ou non. Pour les joueurs noirs, on connaĂźt donc les raccourcis, n’est-ce pas M. Sagnol. Mais ça existe pour tous. Dire des maghrĂ©bins qu’ils sont douĂ©s techniquement mais ingĂ©rables, c’est quoi ? Dire des italiens que ce sont des tricheurs, c’est quoi ? Dire que si on veut recruter un joueur avec une mentalitĂ© de guerrier, il faut aller chercher en Argentine, c’est quoi ? Tous ces prĂ©jugĂ©s, ces caricatures sont monnaie courante dans le football. On ne les relĂšve pas parce qu’elles sont positives. Sauf, qu’en rĂ©alitĂ©, elles sont nĂ©gatives pour les autres. Il n’y aurait donc que les argentins qui auraient cette soif de combattre ? Est venue, ensuite, la partie oĂč on nous dit qu’il n’y a pas d’entraineurs maghrĂ©bins ou noirs au plus haut niveau. SĂ©rieux ?? Quel scoop !!! Le prĂ©sident niçois a mĂȘme dit qu’il avait pris Vieira sans s’occuper de son passĂ© de champion du monde. C’est une blague. Je ne lui fais aucun procĂšs d’intention car c’est un PrĂ©sident que je trouve compĂ©tent et intelligent. Mais Ă©videmment que si Vieira n’avait pas fait partie de France 98, il n’en serait pas, ne soyons pas naĂŻfs. Mais la cerise sur le gĂąteau est venue de M. NoĂ«l Le Graet. DĂ©jĂ , sa dĂ©claration sur le fait que Dacourt faisait un reportage bizarre » interroge. En quoi est-il bizarre ce reportage ? Mais alors quand il dit que les noirs et les arabes ne passent pas leurs diplĂŽmes, j’ai failli m’étouffer. Oui, M. Le GraĂ«t, les arabes et les noirs passent leurs diplĂŽmes, mais ils arrĂȘtent au niveau que vous tolĂ©rez, c’est Ă  dire avant le monde professionnel. Pour rappel, pour avoir accĂšs au graal !!! le BEPF, il y a dĂ©jĂ  un nombre de critĂšres Ă  remplir qui frise le ridicule. Mais mĂȘme quand vous les remplissez, il y a ensuite une sĂ©lection. Et oui, il y a une quinzaine de place seulement, donc il y a les anciennes stars, puis les copains, puis les fils de, puis les obligations d’un ou deux coachs qui ont fait monter leur Ă©quipe
 puis il y a les autres. Autant dire que pour cela, le dossier n’a mĂȘme pas Ă©tĂ© ouvert tellement ils arrivent loin aprĂšs tout le monde. Evidemment, le prĂ©sident de la FFF nous a sorti le fameux j’ai pris un noir, j’ai pris DiomĂšde ». DĂ©jĂ , il est champion du monde 98, mais c’est la phrase typique du je ne suis pas raciste, j’ai une amie encore plus noire qu’une arabe !!! »Nadine Morano. Et ce n’est pas une question de compĂ©tence. Allez voir le nombre de coachs arabes et noirs dans les divisions infĂ©rieures. Demandez Ă  MbappĂ©, Pogba, KantĂ©, Sakho qui Ă©taient leurs entraineurs dans leurs petits clubs de dĂ©part et grĂące Ă  qui ils sont devenus ce qu’ils sont aujourd’hui. La vĂ©ritĂ©, c’est que les coachs arabes et noirs, on en a besoin dans les petites catĂ©gories, oĂč Ă  des niveaux oĂč les joueurs ne sont pas professionnels, pour les gĂ©rer. En gros, entrainez dans le 93, c’st lĂ  qu’on a besoin de vous !!! AprĂšs, lĂ -haut, le niveau professionnel, les salaires plus Ă©levĂ©s, ce n’est pas pour ces gens-lĂ . Restez Ă  votre place, on vous a dĂ©jĂ  donnĂ© quelques diplĂŽmes, ne soyez pas trop gourmands. D’ailleurs, on a tellement ancrĂ© cela, cette hiĂ©rarchie, dans la tĂȘte des gens, que mĂȘme en Afrique, par exemple, on pense comme cela. Pourquoi Djamel Belmadi a pris Serge Romano comme adjoint, lui qui a Ă©chouĂ© partout oĂč il est passĂ© ? Pourquoi tout le monde a Ă©tĂ© surpris et impressionnĂ© par la coupe du monde du SĂ©nĂ©gal dirigĂ© par Aliou CissĂ© ? Quand on voit les joueurs qui composent l’équipe, ce n’est pas comme s’il avait rĂ©alisĂ© un miracle. On pourrait continuer longtemps comme cela Pourquoi Alain Giresse continue Ă  trouver du travail en Afrique, Pourquoi l’AlgĂ©rie fait appel Ă  autant d’entraineurs français de seconde zone etc
 Tout simplement parce qu’on a dĂ©crĂ©tĂ© que les arabes et les noirs Ă©taient de bons joueurs, mais pas assez intelligents, pas assez disciplinĂ©s pour diriger des Ă©quipes professionnelles. Et oui, paradoxalement, malgrĂ© la mixitĂ© dont il est peuplĂ©, et qu’on le veuille ou non, qu’on l’accepte ou non, il existe dans le football des prĂ©jugĂ©s, des idĂ©es racistes. Un cĂ©lĂšbre sĂ©lectionneur espagnol n’avait-il pas dĂ©clarĂ© que la France Ă©tait une Ă©quipe athlĂ©tique grĂące Ă  son immigration ? N’avait-il pas aussi dĂ©clarĂ©, en pleine sĂ©ance, Ă  un de ces joueurs montre au nĂšgre que tu es plus fort que lui », en parlant de Thierry Henry ? Aurait-il remplacĂ© le mot nĂšgre par blanc en parlant de Pirlo ? Se serait-il permis de dire le rital ? Bref
 Terminons quand mĂȘme par le plus ridicule avec la FIFA qui pense faire des actions efficaces avec ses fameux clips Say no to racism »  Sans commentaire. Partager la publication " Je ne suis pas un singe », un reportage Ă©loquent" FacebookTwitter Abonnez-vous Ce dimanche 6 janvier, Canal+ diffuse un documentaire Ă©difiant sur le racisme dans le monde du football. Un flĂ©au qui envahi les gradins et que les stars de la discipline dĂ©noncent... © capture Ă©cran canal+ Les stades sont rĂ©guliĂšrement le théùtre d'actes racistes, dont dĂ©coulent parfois des gestes marquants, voire choquants, Ă  l'image de la la banane ramassĂ©e, puis mangĂ©e en plein match, par Daniel Alves, Ă  Villarreal. Pour comprendre comment les joueurs vivent ces moments, Olivier Dacourt fait tĂ©moigner de grandes stars, comme Samuel Eto'o, Mario Balotelli, Patrick Vieira, ou encore Samuel Umtiti. Tous racontent, Ă  leur maniĂšre, ce qu'ils ont vĂ©cu et ressenti. Olivier Dacourt part Ă©galement Ă  la rencontre d'entraĂźneurs, d'arbitres et de dirigeants de clubs, ceux qui, sur le terrain ou en dehors, ont le pouvoir de faire Ă©voluer les choses. Il se confronte notamment Ă  un supporter fasciste, qui justifie le fait d'insulter des joueurs par la seule couleur de leur peau... AprĂšs son premier documentaire "Ma part d'ombre" dans lequel Zlatan Ibrahimovic ou encore Thierry Henry dĂ©voilaient leur cĂŽtĂ© sombre », et leurs cicatrices de vie, Olivier Dacourt, revient avec ce second volet toujours consacrĂ© Ă  l'univers du foot intitulĂ© "Je ne suis pas un singe". Un titre volontairement choquant pour parler du racisme dans le monde du football, un flĂ©au qui peu Ă  peu envahi les stades français. Plusieurs sportifs apportent leurs tĂ©moignages dont champion du monde Samuel Umtiti, qui Ă©voque sa triste expĂ©rience "On est en 2018, ça le racisme ndlr existe encore, ça m'a choquĂ©", ou encore Samuel Eto'o qui raconte "Je voyais des gens dans les tribunes, entrain de faire des bruits de singes..."Olivier Dacourt dresse le bilan d'un phĂ©nomĂšne inquiĂ©tant qui va Ă  l'encontre des valeurs sportifs et dont la FIFA ne semble pas rĂ©ellement prendre ne suis pas un singe est diffusĂ© dimanche 6 janvier Ă  sur Canal+.Sarah Ibri L'ancien animateur tĂ©lĂ© Thierry Beccaro sera la star de "Je suis nĂ© Ă  17 ans", une fiction de France 2 adaptĂ©e de son roman autobiographique publiĂ© en 2019 qui reviendra sur son passĂ© d'enfant battu. L’un des animateurs les plus populaires du PAF va bientĂŽt signer son grand retour sur France 2. La chaĂźne vient en effet d’annoncer le dĂ©but du tournage d’un nouvel unitaire intitulĂ© Je suis nĂ© Ă  17 ans, adaptĂ© du roman autobiographique Ă©crit par Thierry Beccaro avec l'aide de Jean-Philippe Zapp et paru en 2019. Pour l’occasion, l’ancien animateur de “Motus” et “TĂ©lĂ©matin” reviendra sur la Deux pour jouer son propre rĂŽle. RĂ©alisĂ© par Julien Seri Munch et Ă©crit par François Olivier Rousseau, Je suis nĂ© Ă  17 ans suit Thierry, un ancien enfant battu, qui a rĂ©ussi Ă  se construire malgrĂ© les violences qu’il a subies. Mais les traumatismes de l’enfance sont toujours prĂ©sents, gĂ©nĂ©rateurs d'angoisses et d'un perpĂ©tuel manque de confiance en soi. L’annonce de la mort imminente du pĂšre coupable des brutalitĂ©s, et avec lequel Thierry a rompu toute relation, sonne l’heure des comptes. Le moment est venu pour lui de mettre de l’ordre dans sa mĂ©moire et dans ses sentiments. Pour liquider le passĂ©, il faut d’abord le comprendre. C’est ce que Thierry s’applique Ă  faire avec l’aide de son psy et de ses proches, sa mĂšre, sa sƓur, sa compagne, avec le soutien de ses enfants, surtout, pour lesquels il a su ĂȘtre un pĂšre tendre qui n’a pas reproduit le schĂ©ma de sa propre malĂ©diction
 Le pĂšre de Thierry Beccaro sera incarnĂ© par MoĂŻse Santamaria, connu par les tĂ©lĂ©spectateurs de France 2 pour son rĂŽle de Manu dans Un Si Grand Soleil. Elsa Lunghini Ici tout commence fera Ă©galement partie du casting. Jules Morlon et Pierre Azarello camperont Thierry aux diffĂ©rents Ăąges de sa vie et Anne Loiret prĂȘtera ses traits Ă  la tante de l'ancien animateur. La fiction, produite par Eric Dionysius pour Daigoro Films et Benjamin Lanlard pour La Fabrique, sera en tournage jusqu’au 16 aoĂ»t Ă  Lille et dans sa rĂ©gion.

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